La justice sud-africaine a lancé ce mardi un mandat d’arrêt contre l’ancien président Jacob Zuma pour ne pas s’être présenté le jour même devant un tribunal en vue de son procès pour corruption, mais cet ordre ne sera effectif qu’à compter du 6 mai. Les avocats de l’ancien chef de l’Etat ont invoqué des raisons médicales pour justifier l’absence de leur client devant la Haute Cour de Pietermaritzburg. La juge Dhaya Pillay a estimé manquer de «preuves fiables» mais elle a suspendu le mandat d’arrêt jusqu’au 6 mai prochain, rapporte l’AFP.