Le gouvernement polonais a dévoilé, en collaboration avec la ministre polonaise des Finances et de la Politique régionale, Katarzyna Pełczyńska-Nałęcz, un plan visant à faciliter l’intégration de 30,000 élèves ukrainiens dans les écoles polonaises.
Il comprend 96 millions d’euros provenant du Fonds social européen plus (FSE+) avec 20 millions d’euros supplémentaires du gouvernement polonais, et serviront à embaucher des assistants interculturels, à former les enseignants et à améliorer les soins psychologiques, entre autres initiatives.
Après la cérémonie, la vice-président exécutif Minzatu Elle a rencontré les ministres Barbara Nowacka (Éducation) et Katarzyna Kotula (Égalité), et rencontrera ensuite le ministre des Sciences et de l’Enseignement supérieur Marcin Kulasek. Elle participera ensuite à une Dialogue sur la politique de la jeunesse, s’engager avec des jeunes de toute la Pologne sur l’éducation aux médias, la désinformation et la citoyenneté activeLe dialogue éclairera la Commission Examen de la Plan d’action pour l’éducation numérique mon Feuille de route pour l’éducation et la formation numériques.
Mardi (21 janvier), elle a rencontré les partenaires sociaux pour son premier dialogue sur la politique sociale et a participé à la réunion informelle des ministres de l’éducation de l’UE, qui se poursuivra jusqu’à aujourd’hui (22 janvier) et qui est centrée sur promouvoir une éducation inclusive de qualité dans l’UESa visite s’est terminée par des réunions avec les commissions des affaires européennes, de la politique sociale et de la famille, de l’éducation et des sciences, et par une visite des médias.
Vice-président exécutif Minzatu Français : a déclaré : « Les Polonais ont ouvert leur cœur et leurs maisons pour accueillir les Ukrainiens depuis l’invasion illégale de la Russie en février 2022. Beaucoup de ceux qui ont fui étaient des enfants, et la poursuite de l’éducation scolaire est essentielle à leur développement. Les fonds annoncés aujourd’hui soutiendront les écoliers ukrainiens qui fréquentent des écoles en Pologne, les aideront à mieux s’intégrer dans la société et à améliorer leurs perspectives d’avenir sur le marché du travail. Le monde d’aujourd’hui est en grande partie un monde numérique, et mon premier dialogue avec les jeunes portera sur la façon dont la désinformation peut prospérer en ligne. Nous avons besoin que nos jeunes aient les compétences nécessaires pour comprendre ce qui est vrai et ce qui est factuel, et ce qui est faux et désinformation. En les dotant de compétences numériques et en renforçant leur culture numérique, nous contribuons à rendre les jeunes plus avertis à l’ère du numérique. Lorsque nos jeunes sont mieux informés, nos sociétés sont plus résilientes. »