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Corruption au parlement européen : Les aveux partiels d’Eva Kaili

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Dans le cadre du’une enquête pour corruption au sein du Parlement européen, l’ex-vice présidente du Parlement Eva Kaili est passée à des aveux partiels.

D’après le média Belge Le Soir, l’ex députée Eva Kaili a été auditionnée en vue de sa comparution devant la Chambre du conseil jeudi 22 décembre.

Elle aurait reconnu avoir donné pour consigne à son père de dissimuler une grosse partie de l’argent cash retrouvé chez elle, lors de la perquisition. Ce dernier a aussi été arrêté, avec une valise pleine de billets, à (l’hôtel sofitel Brussels Europe) à Bruxelles (Etterbeek) lors de l’opération anti-corruption menée par les autorités Belge.

Eva Kaili a reconnu l’activité de son compagnon Francesco Giorgi qui a avoué lui-même être le gérant de l’argent liquide au sein d’une organisation criminelle présumée financée par le Qatar.

l’ex-eurodéputé italien et ex-président de la sous-commission des droits de l’Homme Antonio Panzeri, considéré comme chef présumé de cette organisation, a été interpellé dans son appartement bruxellois avec environ 600.000 euros en liquide et il a reconnu partiellement son implication dans l’affaire.

Pier Antonio Panzeri aurait également, toujours selon Le Soir. met en cause l’eurodéputé belge Marc Tarabella comme bénéficiaire des “cadeaux” venant du Qatar.

Cette accusation est réfutée par l’avocat de l’eurodéputé wallon. Depuis le début de l’affaire, le socialiste maintient sa position : il n’a reçu aucun cadeau et aucune somme d’argent de qui que ce soit.

EU Briefs publie des articles provenant de diverses sources extérieures qui expriment un large éventail de points de vue. Les positions prises dans ces articles ne sont pas nécessairement celles d'EU Briefs.

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