L’activiste historien et défenseur des droits humains Maati Mounjib, en grève de la faim depuis plus de deux semaines, s’est vu accorder, ce mardi, la liberté provisoire dans le cadre des poursuites dont il fait l’objet pour « implication dans des actes pouvant constituer des éléments de crime de blanchiment d’argent ».
« Le juge d’instruction a décidé de le remettre en liberté provisoire, les mesures sont en cours pour l’extraire de prison », a déclaré son avocat, précisant que sa santé était « bonne même s’il a perdu 12 kilos ».
Le militant avait été arrêté et placé en détention le 29 décembre dernier.