Jusqu’au 25 avril, les commerces dit « non essentiels » ne pourront accueillir de clients que sur rendez-vous et seules les écoles maternelles resteront ouvertes.et les métiers dits de contact, comme les coiffeurs, sont fermés.
La Belgique durcit à son tour le ton. Le Premier ministre belge, Alexander De Croo, décrit ces nouvelles restrictions comme une pause de Pâques, « Je suis bien conscient que c’est des mesures qui sont difficiles à avaler, et certainement pour ceux qui voient par exemple leur activité professionnelle contrainte. Mais si on ne prenait pas ces décisions-là, les conséquences seraient clairement encore plus graves. On a vu que les contaminations doublent pratiquement toutes les deux semaines, on voit qu’il y a une pression qui est en train de se construire dans les soins intensifs, qui a le risque d’être intenable à terme ».